CLINIQUE SAINT JEAN - CAGNES SUR MER
CENTRE THÉRAPEUTIQUE - 54 RUE GIOFFREDO - NICE
CENTRE DE CRYOTHÉRAPIE - 148 AV GEORGE GUYNEMER - SAINT LAURENT DU VAR/CAP3000
LES CABINETS
MOTIFS DE CONSULTATION
La consultation en nutrition peut répondre à de nombreux objectifs de santé, de bien-être ou de performance.
Que ce soit pour perdre du poids, améliorer sa digestion, adapter son alimentation à une pathologie ou optimiser son alimentation sportive, chaque prise en charge est individualisée.
Découvrez ici les principales situations pour lesquelles une consultation nutritionnelle peut être recommandée.
PERTE DE POIDS DURABLE
La perte de poids est une demande fréquente, mais les mécanismes qui la bloquent sont souvent complexes : adaptation métabolique, mauvais choix alimentaires, stratégie trop restrictive ou instabilité hormonale.
L’objectif d’une prise en charge nutritionnelle est de favoriser une perte de masse grasse sans fatigue, sans fonte musculaire et surtout durable dans le temps.
Une perte de poids mal conduite peut ralentir le métabolisme de base. Il est parfois nécessaire de réévaluer les apports énergétiques, d’éviter le sous-diagnostic des carences et de restaurer les fonctions hormonales de base (leptine, T3 libre, etc.).
Une perte de poids doit préserver la masse maigre. Si la fatigue est présente, un rééquilibrage des apports en protéines, acides gras et micronutriments est essentiel.
Les régimes trop stricts favorisent la reprise de poids rapide via des mécanismes de compensation. L’objectif est ici d’agir sur la stabilité comportementale, la densité nutritionnelle et le plaisir alimentaire.
TROUBLES DIGESTIFS ET SANTÉ INTESTINALE
Les troubles digestifs chroniques peuvent considérablement impacter la qualité de vie.
Qu’ils se manifestent par des ballonnements, une digestion lente, des douleurs post-prandiales, des troubles du transit ou une hypersensibilité abdominale, ils nécessitent une approche individualisée.
Au-delà des symptômes, certaines altérations du microbiote intestinal, une perméabilité intestinale accrue, ou un déséquilibre entre les bactéries intestinales (dysbiose ou SIBO) peuvent contribuer à ces troubles.
L’accompagnement nutritionnel vise à apaiser les symptômes, réduire l’inflammation digestive, et restaurer un fonctionnement intestinal optimal.
Ces symptômes peuvent être liés à une fermentation excessive, une mauvaise combinaison d’aliments, une digestion ralentie ou une sursollicitation du microbiote.
Un ajustement des fibres, des FODMAP, du rythme alimentaire et du profil enzymatique est parfois nécessaire.
Le transit est un indicateur clé de santé digestive. Les troubles peuvent être influencés par l’hydratation, l’apport en fibres solubles/insolubles, la flore intestinale et le rythme de vie.
Une approche progressive permet de régulariser le transit sans aggraver les symptômes.
Une muqueuse digestive altérée peut favoriser l’apparition de troubles digestifs chroniques, d’intolérances alimentaires secondaires, et d’un état inflammatoire discret mais persistant.
L’approche nutritionnelle vise à renforcer la barrière intestinale, à réduire les irritants, et à restaurer une meilleure tolérance digestive.
Un excès ou un appauvrissement de certaines bactéries peut perturber la digestion, générer des gaz, une fatigue post-repas ou un inconfort persistant.
Le travail nutritionnel vise à rééquilibrer le terrain digestif : fibres fermentescibles, polyphénols, sélectivité des apports…
Le SIBO se manifeste souvent par des ballonnements immédiats, un inconfort après les glucides ou les fibres, et un sentiment de “trop plein” rapide.
L’approche repose sur une réorganisation des repas, parfois un appui médical, et une alimentation transitoirement adaptée.
ÉQUILIBRE ALIMENTAIRE ET PATHOLOGIES MÉTABOLIQUES
Certaines pathologies chroniques nécessitent un accompagnement nutritionnel structuré pour limiter leur évolution et améliorer les marqueurs de santé.
Le rôle de l’alimentation est ici de corriger les déséquilibres, d’optimiser les apports et de soutenir l’organisme dans un cadre non restrictif, fondé sur des repères clairs.
Les objectifs sont à la fois thérapeutiques et éducatifs, dans une logique de prévention secondaire ou tertiaire.
L’approche diététique permet de réguler la glycémie, limiter les pics post-prandiaux, restaurer la sensibilité à l’insuline et stabiliser le poids.
Travail sur l’index glycémique, la charge glucidique, les rythmes alimentaires, les protéines et les fibres.
L’approche diététique permet de réguler la glycémie, limiter les pics post-prandiaux, restaurer la sensibilité à l’insuline et stabiliser le poids.
Travail sur l’index glycémique, la charge glucidique, les rythmes alimentaires, les protéines et les fibres.
L’approche diététique permet de réguler la glycémie, limiter les pics post-prandiaux, restaurer la sensibilité à l’insuline et stabiliser le poids.
Travail sur l’index glycémique, la charge glucidique, les rythmes alimentaires, les protéines et les fibres.
L’approche diététique permet de réguler la glycémie, limiter les pics post-prandiaux, restaurer la sensibilité à l’insuline et stabiliser le poids.
Travail sur l’index glycémique, la charge glucidique, les rythmes alimentaires, les protéines et les fibres.
L’approche diététique permet de réguler la glycémie, limiter les pics post-prandiaux, restaurer la sensibilité à l’insuline et stabiliser le poids.
Travail sur l’index glycémique, la charge glucidique, les rythmes alimentaires, les protéines et les fibres.
RELATION À L’ALIMENTATION ET TROUBLES DU COMPORTEMENT ALIMENTAIRE (TCA)
Certaines personnes présentent un rapport difficile à l’alimentation, sans forcément entrer dans une pathologie diagnostiquée.
Il peut s’agir d’un hypercontrôle alimentaire, de culpabilité récurrente, d’épisodes de compulsions, ou de fluctuations importantes du comportement alimentaire en fonction du stress, de l’image corporelle ou de la fatigue.
Dans d’autres cas, une histoire de trouble du comportement alimentaire (TCA) peut nécessiter un suivi nutritionnel en complément d’un accompagnement psychologique.
L’objectif ici est d’apaiser la relation à l’alimentation, de retrouver des repères stables, et de travailler la flexibilité et la sécurité alimentaire, sans jugement ni pression.
Ces épisodes peuvent être liés à un déséquilibre physiologique (apports insuffisants, mauvais timing, fatigue) mais aussi émotionnel (stress, frustration, vide).
Le travail diététique permet de restaurer des apports suffisants, d’anticiper les risques de dérapage et d’identifier les déclencheurs.
Après une phase de stabilisation ou de prise en charge initiale, un suivi nutritionnel peut aider à solidifier les repères alimentaires, prévenir les rechutes, et travailler sur les signaux corporels (faim, satiété, envie) dans un cadre sécurisé.
L’évitement excessif de certains aliments ou groupes alimentaires peut conduire à une rigidité anxiogène, à des carences, et à une perte de spontanéité alimentaire.
L’approche vise à réintroduire progressivement certains aliments et à reconstruire une confiance alimentaire.
CHIRURGIE BARIATRIQUE : AVANT ET APRÈS L’INTERVENTION
La chirurgie bariatrique (sleeve, bypass, dérivation bilio-pancréatique…) est une solution thérapeutique pour les personnes souffrant d’obésité sévère ou de comorbidités associées.
L’alimentation joue un rôle clé avant et après l’intervention, à la fois pour préparer l’opération, sécuriser la perte de poids, éviter les carences, et optimiser la stabilisation métabolique.
Un accompagnement nutritionnel est recommandé tout au long du parcours : avant l’intervention (adaptation alimentaire, perte de poids préopératoire), dans les semaines post-opératoires (textures, digestion, tolérance), puis dans la phase de stabilisation (protéines, compléments, équilibre durable).
Cette phase permet d’anticiper les changements alimentaires, de favoriser une perte de poids initiale, de réduire la stéatose hépatique (foie gras) et de préparer les comportements post-opératoires.
Un travail progressif est mené sur les quantités, les textures, la mastication, et la densité nutritionnelle des repas.
Ces techniques de malabsorption nécessitent une attention particulière sur les micronutriments, les apports caloriques et la réintroduction progressive des aliments.
Le suivi nutritionnel vise à prévenir les déficits (fer, B12, calcium, zinc…), gérer les syndromes de “dumping”, et stabiliser les apports à long terme.
La sleeve entraîne une restriction importante du volume gastrique. L’alimentation doit être adaptée sur plusieurs plans : quantité, texture, tolérance digestive, apport protéique et supplémentation.
Le suivi permet d’éviter les carences et de préserver la masse musculaire.
Une fois le poids cible atteint, le risque de reprise de poids est réel si l’alimentation n’est pas rééquilibrée durablement.
Le suivi permet de restaurer un rapport stable à l’alimentation, d’ajuster les portions, et d’assurer un bon état nutritionnel global.
NUTRITION DU SPORTIF ET PERFORMANCE
Chez les sportifs, l’alimentation a un impact direct sur les performances, la récupération, l’adaptation à l'entraînement et la prévention des blessures.
La prise en charge s’adapte à chaque discipline, au niveau de pratique (amateur ou professionnel), aux contraintes logistiques, et aux objectifs : optimisation de la composition corporelle, préparation à une compétition, récupération, ou prévention du déficit énergétique chronique (RED-S).
L’accompagnement inclut aussi des protocoles spécifiques validés scientifiquement : stratégies glucidiques, supplémentation ciblée, hydratation, ou adaptation en cas de blessures (tendinopathies, troubles digestifs, etc.).
Optimiser la composition corporelle sans compromettre la performance ou la santé est un objectif fréquent.
Les plans alimentaires visent à préserver la masse musculaire, ajuster le métabolisme, et intégrer les contraintes d'entraînement.
Spécificités prises en compte chez les sports à catégories de poids, chez les femmes, ou lors de préparations compétitives.
L’utilisation des glucides autour de l’entraînement est optimisée pour améliorer la performance, retarder la fatigue, et maximiser les adaptations.
Travail sur les quantités, les formats (liquide, gel, solide), la tolérance digestive, et les ajustements selon l’intensité et la durée de l’effort.
Une fatigue persistante, une baisse de libido, une aménorrhée ou une stagnation de performance peuvent révéler un déséquilibre énergétique chronique.
Le suivi nutritionnel permet de restaurer un équilibre entre les apports et les dépenses, tout en préservant la structure corporelle et les objectifs sportifs.
La déshydratation impacte directement la performance et le risque de blessure.
Un protocole hydrique individualisé peut être mis en place selon les conditions météo, la durée de l’effort, la sudation estimée, et la sensibilité digestive.
Créatine, bêta-alanine, caféine, bicarbonate, électrolytes, etc. : leur usage est discuté et adapté selon le sport, la tolérance, et les objectifs.
Objectif : sécuriser l’utilisation des bons compléments au bon moment, en lien avec les données scientifiques validées.
Certaines blessures récurrentes (tendinopathies, fractures de fatigue, déchirures musculaires) peuvent bénéficier d’un soutien nutritionnel ciblé : apport en collagène, vitamine C, oméga-3, anti-inflammatoires naturels, timing protéique…
Possibilité d’adaptation de la charge calorique sans aggraver la fonte musculaire.
Stratégies personnalisées avant, pendant et après l’épreuve : gestion des réserves de glycogène, protocole de chargement, nutrition de l’effort, gestion du stress digestif, récupération post-épreuve.